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M-pox

Dernière mise à jour 2024-03-26

Informations clés

Pour mieux comprendre les termes de santé publique utilisés dans cette fiche maladie (qu’est-ce qu’une définition de cas, ou qu’est-ce qu’un agent infectieux, par exemple), veuillez consulter notre page sur les concepts en matière d’épidémiologie.

Importance

La variole du singe est une maladie zoonotique rare découverte en 1970 chez des singes et des êtres humains en République démocratique du Congo. Elle apparaît principalement dans des pays d’Afrique centrale et de l’Ouest, souvent à proximité de forêts tropicales. Cependant, cette maladie peut s’exporter, comme cela s’est produit ces dernières années aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Israël et à Singapour.

La variole du singe est une maladie grave. Des études réalisées en Afrique centrale, où de nombreuses personnes vivent dans des zones reculées et mal desservies par les services médicaux, indiquent que 1 à 10 % des personnes infectées par la maladie en décèdent.

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Définition de cas

La définition des cas est un ensemble de critères uniformes utilisés pour définir une maladie qui exige une surveillance sanitaire. Elle permet aux responsables de la santé publique de classer les cas et de les comptabiliser de manière homogène.

Les paragraphes qui suivent sont des définitions de cas type qui permettent aux autorités sanitaires nationales d’interpréter les données dans un contexte international. Toutefois, pendant une épidémie, les définitions de cas peuvent être adaptées au contexte local et la Croix-Rouge et le Croissant-Rouge devraient utiliser celles qui ont été convenues/établies par les autorités sanitaires du pays concerné. Remarque : Dans le cadre d’une surveillance communautaire, les volontaires devraient utiliser les définitions de cas générales (simplifiées), appelées définitions communautaires pour reconnaître la plupart des cas ou autant de cas que possible et encourager les personnes touchées à se faire prendre en charge. Les autres acteurs, tels que les professionnels de santé ou les chercheurs qui étudient les causes d’une maladie, peuvent quant à eux utiliser des définitions de cas plus spécifiques pouvant exiger une confirmation par analyse en laboratoire.

Critères cliniques : éruption cutanée particulière, fièvre (subjective ou température mesurée >99,3 °F [>37,4 °C]), autres signes cliniques et symptômes (frissons et/ou sueurs, maux de tête et de dos, adénopathie, maux de gorge, toux, essoufflement).

Critères épidémiologiques : contact avec un mammifère exotique ou sauvage présentant des signes cliniques de maladie (conjonctivite, symptômes respiratoires et/ou éruption cutanée par exemple) OU contact avec un mammifère exotique ou sauvage présentant ou non des signes cliniques de maladie qui a été en contact avec un mammifère ou un être humain atteint de variole du singe OU contact avec un cas humain suspecté, probable ou confirmé de variole du singe.

Critères de laboratoire : isolement du virus de la variole du singe par culture OU détection de l’ADN du virus au moyen d’une réaction en chaîne par polymérase (PCR) sur un échantillon clinique OU détection d’un virus correspondant, sur le plan morphologique, à un orthopoxvirus par microscopie électronique, en l’absence de contact avec un autre orthopoxvirus OU détection de la présence d’un orthopoxvirus dans les tissus en utilisant des méthodes d’analyse immunohistochimiques, en l’absence de contact avec un autre orthopoxvirus.

Classification des cas

Cas suspecté : remplit un des critères épidémiologiques ET fièvre ou éruption inexpliquée ET au moins deux signes ou symptômes, avec apparition du premier moins de 21 jours après le dernier contact correspondant aux critères épidémiologiques.

Cas probable : remplit un des critères épidémiologiques ET fièvre ET éruption vésiculo-pustuleuse avec apparition du premier signe ou symptôme moins de 21 jours après le dernier contact correspondant aux critères épidémiologiques OU en cas d’éruption cutanée dont le type n’est pas établi, avec un niveau élevé d’anticorps IgM dirigés contre l’orthopoxvirus au moins du 7e au 56e jour après l’apparition de l’éruption cutanée.

Cas confirmé : remplit l’un des critères de laboratoire.

La source d’information sur la définition de cas provient de l’OMS : https://www.who.int/emergencies/outbreak-toolkit/disease-outbreak-toolboxes/monkeypox-outbreak-toolbox

Facteurs de risque
  • Personnes en contact étroit avec des animaux infectés (notamment avec leur sang et autres liquides biologiques)
  • Consommation de viande d’animaux infectés cuite de façon inadéquate
  • Absence de mesures d’hygiène et d’assainissement appropriées
  • Soignants et professionnels de santé en contact étroit avec une personne infectée, lorsque les précautions liées à la lutte contre les infections ne sont pas observées de façon stricte
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Taux d'attaque

Le taux d'attaque est le risque de contracter une maladie à une période donnée (par exemple, au cours d’une flambée épidémique).

Les taux d’attaque varieront d’une épidémie à l’autre. En cas d’épidémie, consultez les informations les plus récentes communiquées par les autorités sanitaires.

3 à 28 % dans les flambées récentes parmi les contacts proches.

Groupe exposés à un risque accru de développer une infection grave (groupes les plus vulnérables)
  • Infection plus grave et mortalité plus élevée chez les enfants et les jeunes adultes
  • Personnes immunodéprimées, notamment les personnes en chimiothérapie, les receveurs de greffes ou les porteurs du VIH
  • Personnes atteintes de maladies chroniques telles que les affections rénales, le cancer, les troubles hépatiques ou pulmonaires chroniques et le diabète
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Agent infectieux

Les agents infectieux comprennent les bactéries, les virus, les champignons, les prions et les parasites. Une maladie causée par un agent infectieux ou ses toxines est une maladie infectieuse.

Virus de la variole du singe.

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Réservoir/hôte

Un réservoir d’infection est un organisme vivant ou autre support dans lequel ou sur lequel un agent infectieux vit et/ou se multiplie. Les réservoirs peuvent être des êtres humains, des animaux et l’environnement.

Un hôte réceptif est une personne qui est susceptible d’être contaminée. Le degré de réceptivité dépend de l’âge, du sexe, de l’appartenance ethnique et de facteurs génétiques. Il dépend aussi d’autres facteurs qui influent sur l’aptitude de l’individu à résister à l’infection, ou qui limitent le risque que celui-ci ne développe une infection.

Une zoonose ou une maladie zoonotique est une maladie infectieuse qui est passée d'un animal non humain à l'homme.

Maladie zoonotique: Le réservoir naturel des virus de la variole du singe n’est pas connu. De nombreux animaux servent d’hôtes : écureuil Funisciurus, écureuil ordinaire, rats de Gambie, souris striée, gliridés, chiens de prairie et primates.

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Propagation de la maladie (modes de transmission)

La catégorisation des modes de transmission varie selon le type de l’organisme. De plus, certains agents infectieux peuvent être transmis par plus d’un mode. Une liste de modes de transmission peut être trouvée dans les concepts clés et est destinée à servir de guide pour mieux comprendre les maladies présentées sur ce site web.

  • Transmission par contact : la maladie se transmet à l’humain principalement par contact direct avec le sang, les liquides biologiques ou des lésions de la peau ou des muqueuses d’animaux infectés (singes, chiens de prairie, rats et écureuils, entre autres), par morsure ou griffure. La transmission interhumaine est limitée, mais peut se produire par contact avec les liquides biologiques, les lésions cutanées ou les objets contaminés (p. ex., les draps) d’une personne infectée.
  • Transmission par objets : la consommation de viande d’animaux infectés cuite de façon inadéquate peut constituer un facteur de risque.
  • Propagation par gouttelettes : la transmission interhumaine est également possible par des gouttelettes issues de la respiration, ce qui nécessite généralement un contact en face à face prolongé.
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Période d'incubation

On appelle période d’incubation l’intervalle entre l’infection et l’apparition des symptômes. Elle se compose d’un certain nombre de jours qui peut varier d’une maladie à l’autre.

Entre 6 et 16 jours (peut aller de 5 à 21 jours).

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Période de contagion

La période de contagion est la période pendant laquelle une personne contaminée peut transmettre l’infection à d’autres personnes réceptives.

Première semaine des éruptions cutanées.

Signes et symptômes cliniques
  • La présentation clinique est similaire à la variole, maladie qui a été éradiquée.
  • La période invasive (0 à 5 jours) est caractérisée par de la fièvre, d’intenses maux de tête, une tuméfaction des ganglions, des douleurs dorsales, des douleurs musculaires et une grande asthénie (manque d’énergie).
  • Lors de la période d’éruption cutanée (dans les 1 à 3 jours suivant l’apparition de la fièvre) apparaissent les différents stades de l’éruption, commençant souvent par le visage puis s’étendant aux autres parties du corps. Le visage (dans 95 % des cas), les paumes des mains et les plantes des pieds (dans 75 % des cas) sont les plus touchés. L’éruption cutanée évolue en une dizaine de jours à partir des maculo-papules (lésions à base aplaties) vers les vésicules (petites ampoules remplies de liquide), puis les pustules et enfin les croûtes. La disparition complète de ces dernières peut prendre jusqu’à trois semaines.
  • Certains patients présentent une tuméfaction sévère des ganglions avant l’apparition de l’éruption cutanée ; cette caractéristique distingue la variole du singe des autres maladies semblables.
  • Bien que la manifestation clinique de la variole du singe soit plus légère que celle de la variole, la maladie peut tuer jusqu’à 11 % des personnes infectées. Les complications qui en découlent sont l’insuffisance respiratoire, les infections bactériennes secondaires et les encéphalites.
Autres maladies présentant des signes et des symptômes cliniques similaires

Variole, varicelle, rougeole, infections cutanées bactériennes, gale, syphilis et allergies médicamenteuses.

Diagnostic
  • Sérologie : détection d’anticorps IgM et IgG par titrage immuno-enzymatique (ELISA)
  • Tests de détection de l’antigène
  • Réaction en chaîne par polymérase (PCR)
  • Isolement du virus sur culture cellulaire
Vaccin ou traitement

Veuillez consulter les directives locales ou internationales pertinentes pour la prise en charge clinique. Toute prise en charge clinique comportant l’administration d’un traitement ou d’un vaccin doit être réalisée par un professionnel de santé.

  • Il n’existe pas de traitement ou de vaccin spécifique contre la variole du singe.
  • Le virus de la variole du singe étant étroitement lié au virus responsable de la variole, le vaccin antivariolique peut prévenir la variole du singe. Les experts pensent également qu’administrer le vaccin après une exposition à la variole du singe peut aider à prévenir la maladie ou atténuer sa gravité, à condition qu’il soit administré peu de temps après l’exposition. Une nouvelle génération de vaccin est approuvée depuis 2018 pour la prévention de la variole et de la variole du singe. Suite à l’éradication à l’échelle mondiale de la variole, le vaccin antivariolique n’est plus disponible pour la population générale, mais plusieurs pays, ainsi que l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) conservent des réserves de ce vaccin.
  • La vaccination antivariolique, à titre de préexposition à la maladie, des groupes exposés à des risques élevés (professionnels de santé effectuant des recherches durant une flambée, professionnels du contrôle des populations animales ou vétérinaires, professionnels des soins de santé et laborantins, personnes en contact étroit avec un malade et ne présentant pas de contre-indication) est efficace.
  • La vaccination antivariolique postérieure à une exposition (dans les quatre jours suivant la première exposition à la variole du singe) est envisageable dans les zones où des flambées sont en cours.
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Immunité

Il existe deux types d’immunité :
- L’immunité active qui s’instaure lorsque l’exposition à un agent amène le système immunitaire à produire des anticorps contre la maladie.
- L’immunité passive, elle, s’instaure lorsqu’un individu reçoit des anticorps contre une maladie au lieu de les produire grâce à son système immunitaire. 

Les données passées indiquent que le vaccin antivariolique présente au moins 85 % d’efficacité contre la variole du singe.

Quelles sont les interventions les plus efficaces en matière de prévention et de contrôle ?

Vous trouverez ci-après une liste d’activités auxquelles les volontaires Croix-Rouge/Croissant-Rouge peuvent prendre part. Il ne s’agit pas d’une liste exhaustive de toutes les activités de prévention et de lutte propres à cette maladie.

  • Communication sur les risques liés à la maladie ou à l’épidémie, non seulement pour informer sur les mesures de prévention et d’atténuation, mais aussi pour encourager une prise de décision éclairée, favoriser un changement de comportement positif et maintenir la confiance vis-à-vis des interventions de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge. Il s’agit entre autres de repérer les rumeurs et les fausses informations sur la maladie, qui sont fréquentes dans les situations d’urgence sanitaire, afin de communiquer de manière appropriée à leur sujet. Les volontaires devraient utiliser les techniques de communication les plus adaptées au contexte (qui vont des réseaux sociaux aux interactions en face à face).
  • Activités d’éducation et d’engagement communautaires pour encourager l’adoption de comportements sûrs :
    • Éviter de chasser et de consommer les petits mammifères sauvages
    • Bien cuire la viande avant consommation
    • Éviter tout contact avec un animal malade ou mort, sa viande ou son sang
    • Éviter tout contact avec une personne infectée par la variole du singe
  • Précautions à observer lors de soins ou de visites aux personnes malades :
    • Lavage des mains avec du savon
    • Port de gants en tant qu’équipement de protection individuelle
  • Les autorités peuvent instaurer des mesures telles que la limitation ou l’interdiction de mouvements pour les animaux suspectés, des mesures de quarantaine ou l’élimination des animaux potentiellement infectés.
  • Détection rapide des cas et promotion de comportements consistant à rapidement consulter un centre de soins santé.
  • Le cas échéant, mobilisation sociale en faveur de la vaccination antivariolique antérieure ou postérieure à l’exposition au virus.

Caractéristiques de l'épidémie, indicateurs et objectifs de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge

Le premier tableau ci-dessous indique les données qui devraient être recueillies auprès des autorités sanitaires et des acteurs non gouvernementaux concernés afin de comprendre l’évolution et les caractéristiques de l’épidémie dans le pays et la zone d’intervention. Le deuxième tableau présente une liste d’indicateurs proposés, qui peuvent être utilisés pour le suivi et l’évaluation des activités Croix-Rouge/Croissant-Rouge ; le libellé des indicateurs peut être adapté à des contextes spécifiques. Les valeurs cibles pour un indicateur spécifique pouvant varier considérablement en fonction du contexte, les responsables devraient les définir en se basant sur la population concernée, la zone d’intervention et les capacités du programme. À titre exceptionnel, certains indicateurs fournis dans ce site Web peuvent mentionner des valeurs cibles lorsque celles-ci constituent une norme convenue à l’échelle mondiale. Par exemple, 80 % des personnes ayant dormi sous une moustiquaire imprégnée d’insecticide (MII) la nuit précédente — seuil normatif défini par l’Organisation mondiale de la Santé pour la couverture universelle en MII.

Caractéristiques et évolution de l’épidémie
Nombre de cas suspectés par semaine (ventilé par âge et par sexe)
Nombre de cas confirmés par semaine (ventilé par âge et par sexe)
Taux de létalité
Indicateurs relatifs aux activités Croix-Rouge/Croissant-Rouge

Nombre de volontaires formés sur un sujet spécifique (p. ex., lutte contre les épidémies à l’usage des volontaires, surveillance à base communautaire, formation Eau, assainissement et hygiène, formation Premiers secours et santé à base communautaire, etc.)

Numérateur : nombre de volontaires formés

Source d’information : fiches de participation aux formations

Cas suspectés, détectés par les volontaires, qui ont été encouragés à se faire soigner et sont arrivés à un établissement de santé (Remarque : Cet indicateur nécessite la mise en œuvre d’un système de collaboration avec l’établissement de santé dans le cadre duquel le professionnel de santé demande spécifiquement au patient comment il a eu connaissance du service)

Numérateur : cas suspectés de variole du singe détectés par les volontaires au cours d’une période déterminée précédant cette enquête (p. ex. : deux semaines), pour lesquels des conseils ou un traitement ont été sollicités auprès d’un établissement de santé

Dénominateur : nombre total de cas suspectés de variole du singe au cours de cette même période antérieure à l’enquête

Source d’information : enquête

Pourcentage de personnes capables de citer au moins un mode de transmission et au moins une mesure de prévention

Numérateur : nombre total de personnes qui ont cité au moins un mode de transmission et au moins une mesure de prévention durant l’enquête

Dénominateur : nombre total de personnes interrogées

Source d’information : enquête

Pourcentage de personnes capables de citer la cause, les symptômes, le traitement et les mesures préventives de la variole du singe

Numérateur : nombre de personnes capables de citer la cause, les symptômes, le traitement ou les mesures préventives de la variole du singe

Dénominateur : nombre de personnes interrogées

Voir également :

  • Pour les indicateurs relatifs à l’engagement et à la redevabilité dans le cadre des activités accompagnant les actions de lutte contre les épidémies menées par les volontaires, veuillez vous reporter à :
    Fédération internationale, CEA toolkit (Tool 7.1: Template CEA logframe, activities and indicators), disponible à l’adresse : https://www.ifrc.org/document/cea-toolkit

Impact sur d'autres secteurs

Secteur Lien avec la maladie
Eau, assainissement et hygiène La transmission peut être réduite grâce à des mesures appropriées d’hygiène et d’assainissement, en particulier pour les personnes en contact avec des personnes infectées.
Sécurité alimentaire Éviter de chasser et de consommer de petits mammifères sauvages permet de réduire le risque d’infection.
Nutrition La malnutrition accroît le risque de contracter une forme grave de la variole du singe.
Logement et établissements humains (y compris articles ménagers) Vivre dans le voisinage étroit de petits mammifères sauvages dans des régions endémiques abritant des animaux pouvant être infectés augmente le risque de transmission du virus de la variole du singe.
Soutien psychosocial et santé mentale Comme toutes les maladies, outre ses effets physiques, la variole du singe peut avoir des répercussions négatives sur les aspects psychologiques, sociaux et émotionnels de la vie d’une personne. Les réactions psychologiques peuvent se manifester par la crainte de la stigmatisation sociale, l’anxiété et le retrait social, entre autres.
Éducation Les écoles jouent un rôle important pour apprendre aux enfants à ne pas toucher les animaux malades, qui pourraient transmettre la variole du singe. Cela est d’autant plus important que les jeunes sont exposés à un risque accru de contracter une forme grave de la maladie. Par ailleurs, les enfants peuvent être privés d’éducation s’ils restent chez eux à cause de la maladie.
Moyens de subsistance La maladie pouvant limiter la capacité de travail, elle engendre une réduction de la productivité. Cela peut donner lieu à une perte de revenus due à la réduction de l’activité professionnelle et à la réaffectation des ressources aux fins de l’obtention d’un traitement médical.

Ressources :

Ressources pour l'action communautaire en matière de santé:

Ressources pour l'action clinique (disponible en anglais uniquement):

Ressources pour la participation communautaire, l'engagement communautaire et la lutte contre la stigmatisation: